Captive de Sarah Rivens


Au sein des réseaux criminels, là où règnent puissance, meurtre et pouvoir, il y avait elles. Les captives. 

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Depuis son adolescence, Ella est une captive contre son gré. John, son possesseur, préfère utiliser son corps plutôt que ses talents, plongeant sa vie dans un cauchemar éveillé.

Jusqu'au jour où il lui annonce qu'elle va travailler pour quelqu'un d'autre...

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Ella est une fille brisée lorsqu'elle arrive chez Ash, chef d'un réseau de vente d'armes et de drogues, qui déteste les captives. C'est donc naturellement qu'il l'a rejette lorsqu'elle atterrit dans sa vie. Pendant des semaines, il fait de sa vie un enfer. Mais il ne comprend pas lorsqu'Ella lui tient tête. Car en effet, sous ses airs innocent et candide, la jeune fille est une rebelle qui tient à la vie et ne veut plus se faire marcher dessus. Et c'est là que tout bascule...

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Après avoir lu les deux premiers tomes, je comprend pourquoi cette dark romance est devenu un phénomène des réseaux sociaux. Certes, Asher Scott est loin d'être un enfant de coeur, et on ne voudrait pas de lui à nos côtés. Mais face à Ella, il devient un petit animal fuyant et presque (presque je dis bien !) attendrissant. 

L'intrigue est bien construite et pleine de rebondissements. Clairement, on ne s'ennuie pas aux côtés de Monsieur Scott !

Les personnages sont complexes et attachants, et l'histoire en devient captivante. Ajouté à cela la plume de l'auteur qui parvient à créer une atmosphère sombre et oppressante et vous avez le combo parfait pour une série dark romance à succès ! 

Cette série a beaucoup de points forts. Tout d'abord, l'intrigue est originale et bien ficelée. Ensuite, les rebondissements sont nombreux et souvent inattendus, permettant de laisser le lecteur en alerte jusqu'au dénouement. 

Ella est une jeune femme courageuse et déterminée, qui lutte chaque jour pour sa survie et sa liberté, alors qu'Asher est violent et manipulateur, mais aussi capable de sentiments profonds, ce qui l'humanise à nos yeux.

Cependant je signale que la violence explicite peu plomber l'ambiance et que ce roman n'est pas à mettre entre toutes les mains.

À lire également : 

  • The Devil's sons de Chloé Wallerand


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